Découvrez notre premier rapport d'activités digital et consultez nos réalisations majeures de l'année 2019.
A l’heure d’écrire ces lignes, impossible de ne pas évoquer la crise sanitaire liée au Coronavirus. Et, dès lors, d’emblée, d'évoquer l’engagement, l’investissement, la solidarité et le sang-froid de l’ensemble de nos équipes. La réorganisation suscitée par l’émergence de cette crise fut un réel défi et nous l’avons relevé, en un temps record et malgré les divers manques criants. A l'image de nos valeurs, nos équipes se sont mobilisées, ensemble, avec professionnalisme et bienveillance, souvent de façon innovante, afin d'accompagner, de soutenir, de soigner et de protéger les patients de notre Centre Hospitalier et les résidents de nos deux MSP. Tout cela a été possible grâce à leur patience, leur aide, leur compréhension et celle de leur famille, de leurs proches. Merci pour la confiance qu'ils nous ont témoignée tout au long de la crise ! Et que dire du formidable élan de générosité auquel tant de personnes ont contribué : les bénévoles qui ont œuvré à nous fournir masques, blouses, visières, et l’ensemble des dons qui nous ont été adressés. Ce soutien nous fut précieux et nous a donné l’énergie pour remplir notre mission dans ces circonstances exceptionnelles. A toutes et tous, je tiens à exprimer ma plus profonde gratitude !
Ces circonstances ne doivent toutefois pas nous faire oublier l’immense travail accompli par nos équipes au cours de l’année 2019 et notre cap fixé vers nos prochains défis, en particulier le projet « Titeca 2020 » et la construction de notre nouveau bâtiment destiné à accueillir une grande partie de nos activités cliniques et logistiques fin 2021.
L'année 2019 a également été une année particulière puisqu’elle aura connu le départ de notre ancien Directeur Général, Monsieur Christophe Happe, dont je salue, une fois encore, le remarquable travail accompli pendant ces presque 7 années, mais aussi l’arrivée du Docteur Pierre Oswald, notre nouveau Directeur Médical, de Monsieur Benoît Gossiaux, notre Directeur Infrastructures et Logistique et, depuis le début de cette année de notre nouveau Directeur Général, Monsieur Alban Antoine.
Ensemble, avec nos partenaires privilégiés, nos équipes continuent de se mobiliser, au jour le jour, pour offrir aux patients et aux résidents des soins de qualité conforme à nos valeurs, et à accompagner notre ensemble de soins dans sa transformation et son intégration dans un réseau de soins performant et cohérent.
Une fois encore, merci, MERCI ! à vous toutes et tous pour votre engagement et votre investissement sans relâche.
Je l’ai dit à de nombreuses reprises. Ma grand-mère me répétait inlassablement, depuis sa maison de l’avenue Chazal, que j’irais à Titeca si je continuais à faire des bêtises. Sa prophétie s’est réalisée. Mais elle dit surtout beaucoup de la place qu’a prise le CHJT dans l’imaginaire collectif et dans le paysage psychiatrique régional et national.
Développer un nouveau projet dans notre institution ne peut donc faire abstraction de son passé, de son expertise accumulée au cours des décennies et de ses valeurs. Mais évoluer est indispensable, au risque de voir passer le train des innovations.
La construction des nouveaux bâtiments est l’occasion idéale de repenser notre pratique et de l’adapter aux exigences de notre siècle, à l’évolution de notre patientèle, aux demandes des autorités et à la fameuse réforme des soins en santé mentale. Si cette réforme reste peu connue, y compris parmi les travailleurs de la santé mentale, elle impose de mettre le patient au centre des préoccupations. Et il ne s’agit pas ici de vagues résolutions car depuis sa mise en place, tous les projets sont évalués et financés selon cette grille de lecture.
Le trajet de soins s’articule autour du bénéficiaire, acteur de son suivi. C’est lui qui définit son traitement, ses interactions avec les professionnels et qui choisit son lieu de vie. Ce projet de réhabilitation ne se fait évidemment pas sans mal. Il impose une interaction constante, un échange équilibré et humaniste entre bénéficiaires et soignants mais aussi entre soignants à l’hôpital et soignants inscrits dans la cité, dans les centres de consultation et dans les équipes mobiles.
C’est cette interaction qui est au cœur de notre réflexion de « Titeca 2020 ». C’est cela le rétablissement. Le bénéficiaire développe une connaissance de son fonctionnement, intègre son expérience de la maladie et exprime ses besoins. Le soignant fait de même : il apprend de son interlocuteur et lui exprime, en fonction de ses connaissances mais aussi de son vécu, ses propres attentes et ses besoins. Le rétablissement est donc une manière de percevoir le soin comme un échange, où, pour chacun, les besoins sont exprimés et le confort mutuel assuré.
Nous avons voulu des nouvelles unités qui permettent cet échange.
Nous voulons que le CHJT se positionne comme fer de lance de cette nouvelle manière de percevoir le soin. Nous voulons un hôpital, étape dans le parcours de soins du patient, en appui des équipes mobiles, de nos partenaires et de l’ensemble des acteurs de la santé mentale. Nous voulons aussi que tous ceux qui travaillent au CHJT s’approprient cette vision. Divers programmes et formations y veilleront, en dépit de la situation sanitaire.
Nous, ce sont les soignants, le département des soins, le service social, le service de psychologie et le département médical. Nous, ce sont aussi les somaticiens qui approchent le bénéficiaire dans sa globalité, mentale et physique.
Nous, c’est l’ensemble du personnel du CHJT qui, en première ligne ou en support, voulons travailler à un projet commun. Nous c’est enfin un ensemble de soins cohérent, qui ne se limite pas aux murs de la rue de la Luzerne ou de la Chaussée de Gand, mais qui inclut dans une même vision ses équipes mobiles, les maisons de soins psychiatriques et ses partenaires privilégiés
Ma grand-mère serait étonnée de me voir travailler « à Titeca » mais elle serait heureuse de voir que depuis le XIXème siècle, le CHJT a toujours pu se réinventer en restant fidèle à ses valeurs et à sa mission.
Indice A : Service neuropsychiatrique d’observation et de traitement.
Indice IB : Traitement intensif de patients psychiatriques présentant des troubles graves du comportement et/ou agressifs.
Indice K : Service neuropsychiatrique infantile.
Indice T : Service psychiatrique de traitement.
En 2018, la réforme de l’If-Ic a préconisé un passage au nouveau système salarial pour 61 % des travailleurs.
En 2018, 41 % des travailleurs ont effectivement choisi de passer au barème If-Ic.
Au 31 décembre 2019, du fait de l’intégration systématique des nouveaux travailleurs dans ce régime, 45 % de l’effectif hospitalier est dans le barème If-Ic.
Le CHJT s’implique dans la réforme des soins en santé mentale, communément appelée le « Projet 107 ».
Cette réforme vise, en effet, à améliorer le travail en réseau afin d’offrir au patient la réponse la mieux adaptée à ses besoins et à mettre en place autour de lui un circuit de soins qui lui est personnel.
De nombreuses collaborations sont ainsi mises en place avec différents prestataires, afin de construire un réseau qui assure la continuité des soins de nos patients.
Le projet de construction nous fournit l’opportunité de repenser notre projet thérapeutique institutionnel et de développer une nouvelle philosophie de soins. En effet, la nouvelle construction permet le déploiement de 2 unités supplémentaires à effectif constant. La Direction a, dès lors, souhaité proposer une alternative à l’organisation actuelle des trajets de soins en tenant compte des problématiques de soins telles qu’elles se posent au niveau institutionnel et du contexte environnemental ... ...
Nos équipes ont été sollicitées pour mener cette réflexion en concertation avec la Direction et ont ainsi intégré différents groupes de travail : « programmation des infrastructures », « modélisation des soins » et « insertion des patients dans la communauté ». Ces groupes de travail ont ainsi mobilisé, tout au long de l’année, des membres de direction ainsi que des cadres du département médical et du département des soins.
Un nouveau modèle d’organisation de soins a ainsi été défini (service de crise/service de rétablissement), lequel a requis le redéploiement des ressources en terme de personnel. Un processus de mobilité interne a, dès lors, été mis en place afin de permettre aux équipes médicales, soignantes, psycho et sociales de se positionner sur l’orientation souhaitée de leur parcours professionnel. A cette fin, une « jobweek » a été organisée par le département des soins afin de permettre au personnel de connaître les projets des futures unités et de poser toutes les questions nécessaires.
Fin 2019, les compositions des futures unités (infirmiers chefs adjoints / adjoints de l’infirmier en chef, cadres de service (infirmiers chefs de service), coordinateurs psychologues et médecins) ont été communiquées.
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Fin 2018, l’unité PTCA a inauguré le dispositif « Hospiflash ». L’Hospiflash est une modalité d’accueil spécifique, rapide et limitée dans le temps qui peut être sollicitée pour tout patient (homme, femme ou adolescent) âgé de minimum 16 ans. Elle permet, lorsqu’une situation de crise est rencontrée dans une unité et qu’un changement de cadre de prise en charge rapide peut s’avérer opérant, l’admission rapide du patient sur un lit « Hospiflash » au PTCA 24h/24 et 7j/7. L’objectif ainsi poursuivi est de trouver une solution rapide à la crise, tout en minimisant le recours à des mesures coercitives (isolement, contentions, etc.) ... ...
Durant l’année 2019, 67 séjours « Hospiflash » ont été réalisés. Ces séjours ont impliqué des collaborations avec l’ensemble des unités et des services du CHJT. Une fois le patient transféré au PTCA, le changement de cadre et le bénéfice d’une prise en charge élargie contribuent à désamorcer la crise. Le recours à des mesures coercitives est donc extrêmement rare, le transfert permettant d’éviter ces mesures ou de les interrompre. Dans 70% des cas, les patients ont pu réintégrer l’unité de soins dont ils avaient été transférés dans un délai maximal de 14 jours. Souvent, ce délai est bien plus court (1 à 3 jours).
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Le Centre Hospitalier Jean TITECA est devenu, depuis le 1er avril 2019, un hôpital de référence à Bruxelles pour la gestion et la facturation des psychologues de première ligne sur le territoire bruxellois. Cette initiative, coordonnée par le projet 107, permet l’accès aux traitements psychologiques à des conditions financières et pratiques avantageuses à des patients (enfants, adolescents et adultes) dont le trouble peut être traité en un nombre limité de séances. Le patient est ainsi orienté par son médecin vers un psychologue de première ligne référencé comme tel dans une base de données. Le CHJT prend ainsi en charge le relais administratif et financier, seul le ticket modérateur restant à payer par le patient.
Le CHJT a élaboré différents partenariats avec des acteurs des secteurs culturels et des loisirs et bénéficie ainsi de tarifs préférentiels lors d’activités organisées au profit des patients et des résidents. La réduction de prix, permet à l’ensemble des patients qui le souhaitent d’y participer sans que la question financière puisse être un frein. Certains de ces avantages ont pu être étendus aux membres du personnel, lesquels bénéficient également de tarifs réduits pour des activités ou événements auxquels ils souhaitent se rendre à titre privé.
Le respect de la vie privée de nos patients et la protection de leurs données restent une préoccupation majeure de notre institution. A travers un groupe de travail dédié à l’implémentation du RGPD au sein de l’institution, le CHJT poursuit sa réflexion et adapte ses processus afin de garantir la protection de la vie privée à travers toutes ses activités. Une campagne d’information a été menée afin de sensibiliser l’ensemble des collaborateurs à ces problématiques et renforcer les réflexes en matière de protection de la vie privée.
Le projet de reconstruction, initié en mars 2017, se poursuit : la phase « gros œuvre fermé » s’est achevée et le parachèvement a débuté en novembre 2019 avec différentes sociétés pour l’ensemble des techniques spéciales (ventilation, chauffage, électricité, ascenseurs…). L’objectif principal de cette nouvelle construction est d’offrir aux patients et aux équipes un bâtiment de 15.000 m² moderne et fonctionnel, adapté à l’évolution des besoins de soins en santé mentale, basé sur le rétablissement du patient et conforme en termes de normes techniques actuelles et futures, le tout ancré sur le même site que l’hôpital actuel.
En 2019, le DPI a été implémenté sur les deux sites MSP, conformément au souhait du CHJT, alors que les obligations légales du plan e-santé ne s’appliquaient initialement qu’aux hôpitaux. Cette implémentation permet, dès lors, de garantir la continuité et la qualité des soins et de faciliter le travail des professionnels de soins. Elle constitue également une aide au pilotage institutionnel.
Le travail de préparation et d’informatisation ayant été réalisé en 2018, l’équipe du DPI a concrétisé l’implémentation du DPI dans les deux MSP en 2019 en assurant le soutien et la formation aux équipes.
Nos deux Maisons de Soins Psychiatriques proposent un lieu résidentiel de prise en soin fondé sur un projet thérapeutique commun. Une collaboration plus intense et plus régulière s’est mise en place entre les deux sites afin d’optimaliser les thématiques thérapeutiques transversales et d’uniformiser les pratiques.
Le CHJT a décidé en 2019 de s’engager dans un projet de construction de nouvelle MSP en Région bruxelloise. D’une part, le bâtiment du site Schweitzer ne présente plus les perspectives suffisantes pour la poursuite des soins destinés aux résidents actuels. Aussi, face à la nécessité de renforcer l’offre résidentielle sur le territoire pour les personnes souffrant de troubles en santé mentale, le projet inclut une demande d’élargissement de la programmation du nombre de lits. L’objectif : atteindre une capacité d’accueil de 120 lits afin de proposer des soins de qualité basés sur les principes de rétablissement, ouvert sur la communauté et centré sur le résident comme acteur de son projet de vie.
Impliqué dès le départ avec conviction dans la réforme de soins en santé mentale, le CHJT a fait figure de pionnier en complétant, dès 2011, son offre de soins par la mise en place de différentes équipes mobiles. Aujourd’hui, cinq équipes mobiles pluridisciplinaires sont ainsi rattachées au CHJT (TELA, EOLIA, MAYA, l’EMC de crise et l’Antenne Précarité) et proposent un suivi ambulatoire aux patients à partir de leur domicile.
INTERVIEW DE LAURENT VANDERBEQUE,CADRE INTERMÉDIAIRE, Responsable des équipes mobiles CHJT/Bruxelles Est
« Réforme en santé mentale » - « Projets 107 » ? De quoi s’agit-il ?
Le leitmotiv de la réforme en santé mentale (article 107), est d’évoluer « vers de meilleurs soins en santé mentale par la réalisation de réseaux et circuits de soins ». Son cortège d’objectifs se définit notamment par la continuité des soins, l’intégration des services, les soins dans la communauté, l’inclusion sociale ... ...
Dans le domaine de la santé mentale, nous pourrions distinguer deux orientations : celle du rétablissement chez une personne qui est momentanément en crise (dépression, par exemple) et les soins de la maladie psychiatrique visant à une stabilisation à plus long terme (schizophrénie).
La réforme s’est développée, entre autres, par un gel de certains lits en psychiatrie (en vue de réinvestir les moyens dans des projets visant à “l’amélioration des soins de santé mentale et en psychiatrie” au sein de la communauté). En ce qui concerne les “réseaux et circuit de soins”, il en existe 22 en Belgique ! Chacun d’entre eux doit développer 5 fonctions essentielles pour réaliser la prise en charge du patient.
En ce qui concerne « les antennes » : il y en a 4 à Bruxelles réparties selon différentes zones géographiques : “Norwest”, “Bruxelles-Est”, “Hermès + ” et “Rézone”.
Ces antennes » sont des espaces de rencontre, de réflexion, d'échanges et d'innovations en rapport avec les nouvelles pratiques de collaboration.
Elles travaillent avec tous les types de services qui sont en contact avec les personnes en souffrance psychique. Le public visé par les activités des antennes (même si elles n’assurent pas directement de prise en charge d’usagers) sont les adultes en souffrance psychique, en ce compris les personnes âgées, avec une attention particulière aux personnes qui vivent avec des troubles sévères et qui cumulent des difficultés à des plans divers (sociaux, relationnels, consommation, etc.) Les antennes (bicommunautaire) travaillent avec une vision intégrée des soins de santé mentale qui inclut l’ensemble des fonctions de soins en santé mentale, à partir de l’expérience et de la réalité des services. Elles collaborent avec des services de tous types (assuétudes, grande précarité, handicap, logement, emploi). Elles portent également la parole aux politiques afin, notamment, de les sensibiliser au plus près des besoins des populations cibles. Pour conclure, je dirais que les antennes développent une logique de collaboration de confiance, favorisant les projets communs et la circulation des idées et ce, au service des objectifs généraux de la réforme.
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Dans le cadre de la réforme en santé mentale et de « l’article 107 » développés par les autorités fédérales, le Centre Hospitalier Jean TITECA a élargi, depuis 2011, son offre de soins par le déploiement d’équipes mobiles pour la zone Bruxelles Est (Etterbeek, Auderghem, Woluwe-Saint-Pierre, Woluwe-Saint-Lambert, Schaerbeek, Evere, Haren). La professionnalisation de ces équipes pluridisciplinaires qui se déplacent, notamment, au domicile des patients, favorise une prise en charge adaptée de ceux-ci au sein de leur cadre de vie et tend à éviter les hospitalisations, tout en soutenant l’entourage de ceux-ci.
Comment ces équipes mobiles se définissent-elles ?A mon sens, c’est très complexe de « définir » une équipe mobile parce que quelques mots ne suffisent pas à mettre l’accent sur la complexité de la prise en accompagnement au quotidien…
Il faut également nommer l’’équipe « Atome » qui tient une fonction de garant de réseau (les professionnels issus de la santé mentale ou non, les proches de l'usager ou toute autre ressource identifiée par celui-ci), une fonction d’orientation téléphonique mais aussi une fonction de recensement des ressources hors et dans le champ de la santé mentale, l’organisation de rencontres avec les services/partenaires permettant la mise en place de relais fonctionnels, aussi hors santé mentale.
Ils sont nombreux. Pour les citer par priorité, je dirais d’ouvrir plus encore aux partenaires hors santé mentale et d’engager un.e. coordinateur/trice, ce qui devrait permettre d’améliorer sans aucun doute l’organisation de notre réseau. En ce qui concerne nos équipes mobiles, nous n’avons pas encore atteint le nombre d’ETP escompté.
Partenaire historique privilégié du CHJT, le CASMMU complète l’offre de soins en proposant, à travers ses 3 sites (Foch, Lambiotte et Ados) 100 places (dont 10 sont réservées à des adolescents) présentant des difficultés psychiatriques, et 25 à des patients sous statut d’internement.
La collaboration avec les asbl Le Bivouac (hôpital psychiatrique de jour) et Nausicaa (IHP), initiée en 2016, se renforce un peu plus. Outre le support à certaines activités administratives (comptabilité, facturation et RH), le CHJT offre désormais également un support médical à Nausicaa.
| Actifs immobilisés | 35.757.602,74 |
|---|---|
| Frais d’établissement | 221.582,17 |
| Immobilisations incorporelles | 267.297,50 |
| Immobilisations corporelles | 35.246.684,17 |
| Immobilisations financières | 22.038,90 |
| Actifs circulants | 27.862.061,82 |
| Créances à plus d’un an | 0,00 |
| Stocks et commandes en cours d’exécution | 188.216,32 |
| Créances à un an au plus | 17.453.642,98 |
| Valeurs disponibles | 17.453.642,98 |
| Comptes de régularisation | 146.083,81 |
| Total de l'actif | 63.619.664,56 |
| Capitaux propres | 24.509.535,26 |
|---|---|
| Résultat reporté | 8.750.689,81 |
| Subsides d’investissement | 15.758.845,45 |
| Provisions pour risques et charges | 8.169.026,13 |
| Dettes | 30.941.103,17 |
| Dettes à plus d’un an | 17.174.689,16 |
| Dettes à un an au plus | 12.999.204,54 |
| Comptes de régularisation | 767.209,47 |
| Total du passif | 63.619.664,56 |
| Produits d’exploitation | 41.159.890,65 |
|---|---|
| Chiffre d’affaires | 37.596.298,92 |
| Autres produits d’exploitation | 3.563.591,73 |
| Coût des produits d’exploitation (-) | 39.823.301,91 |
| Approvisionnements et fournitures | 1.530.154,78 |
| Services et fournitures accessoires | 6.426.163,79 |
| Rémunérations, charges sociales et pensions | 30.568.518,68 |
| Amortissements et réductions de valeur sur frais d’établissement, sur immobilisations incorporelles et corporelles | 1.678.167,03 |
| Autres réductions de valeur | -1.165.470,45 |
| Provisions pour pensions et obligations similaires | -158.647,77 |
| Autres charges d’exploitation | 944.415,85 |
| Bénéfice d’exploitation (+) | 1.336.588,74 |
| Produits financiers | 303.776,73 |
| Charges financières | 299.126,33 |
| Bénéfice courant (+) | 1.341.239,14 |
| Produits exceptionnels | 567.151,46 |
| Charges exceptionnelles (-) | 434.664,04 |
| Bénéfice de l’exercice (+) | 1.473.726,56 |
